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ADSAV - Page 8

  • ACTES FONDATEURS DU JACOBINISME. SOUVIENS-TOI !

    Toute période d‘anarchie génère son lot de bassesses, d’ignominies et de meurtres, dont les victimes se révèlent massivement les gens honnêtes et les soldats de l’ordre. Dès lors, comment ne pas évoquer, à l’heure où l’ensauvagement déferle sur nos cités, deux évènements édifiants survenus, il y 230 ans : le massacre des gardes-suisses au Palais des Tuileries, le 10 aout 1792 et celui non moins horrible d’ecclésiastiques et de gens d’armes dans les geôles parisiennes, quelques semaines plus tard ?

    La prise d’assaut des Tuileries, ce 10 aout 1792 s’avéra une violente émeute qui regroupa, au sein d’une foule enflammée par les discours d’une poignée de rhéteurs, un fort contingent de canailles que la déliquescence de l’Etat ne pouvait qu’inciter à l’action. Une ruée furieuse déclenchée en sous-main par des manieurs d’argent – les Soros de l’époque – avides de régenter l’Etat pour leur profit et celui de l’étranger.

    Rien qui ne puisse, à priori, susciter l’enthousiasme des partisans de l’Ordre, de la Nation ou des Traditions séculaires. Car le dénouement se solda par le massacre gratuit de tous les occupants de la Demeure royale. Femmes et enfants compris. Soit un carnage de plus de 900 victimes !

    Les journées de septembre qui suivirent, rappellent un autre « fait d’armes » tout aussi révélateur. Le massacre organisé MÉTHODIQUEMENT par la Commune de Paris, sous la férule d’un journaliste névropathe. Une commune insurrectionnelle composée essentiellement de repris de justice tels le Président HUGUENIN (concussion), HEBERT (filouterie), MANUEL (vol), PANIS (détournement de fonds), ROSSIGNOL (assassinat)…

    Or, malgré la discrétion de nos manuels scolaires – on est loin de l’évocation tapageuse du massacre de la Saint-Barthélemy – le scénario jacobin est connu : deux à trois cents vauriens recrutés dans les bouges de la capitale égorgeront du 2 au 7 septembre les soldats loyaux et les hommes d’église emprisonnés au Couvent des Carmes, aux Bernardins, au Chatelet…pour un bilan (1 500 victimes) tout aussi éloquent.

    Il va sans dire que ces bains de sang n’ont pu traduire la VOLONTÉ GÉNÉRALE du peuple parisien. Parce que la faction révolutionnaire oscilla entre 3 000 et 10 000 personnes tout au plus, sur une population parisienne de 640 000 âmes. Même absence de légitimité pour le bonneteau électoral : la participation citoyenne de 1792 à 1799 ne dépassa jamais 20%.

    Dans le même registre, tout historien honnête admet qu’il n’y a pas de trouble révolutionnaire sans la participation ACTIVE et MASSIVE de la racaille aux assauts des institutions et des biens privés. Et que l’hostilité menée à l’encontre des forces de l’ordre émane essentiellement de certains milieux idéologiques biens identifiés. Toujours les mêmes ! Toujours la même engeance. Celle que l’on trouva naguère à la pointe du combat antimilitariste et anticlérical, et que l’on retrouve aujourd’hui en ébullition dans le combat antinational et antieuropéen.

    Ces événements historiques, comme ceux qui suivirent, illustrent fort à propos cette LUTTE ÉTERNELLE du camp du Désordre contre celui de l’Ordre, des utopies dangereuses contre les saines réalités, de ceux qui se servent contre ceux qui, eux, servent. Et dans cette lutte, vouloir rester neutre, c’est faire le jeu de nos pires ennemis.

    Qui aurait pensé en 1788, qu’une révolution sanguinaire se déclencherait un an plus tard ? Et bouleverser l’Europe entière, puis le monde ?

    Aujourd’hui, nous vivons la même période d’incertitudes avec la montée vertigineuse de la criminalité et son absence de répression, des émeutes à répétition, un endettement pharaonique sans comparaison avec celui d’Ancien Régime et un appareil d’Etat sous l’emprise de lobbies confédérés et coteries agressives. Une situation d’autant plus alarmante que notre peuple est privé de ses repères traditionnels religieux et moraux. Et que des pans entiers du territoire – appelés pudiquement « zones de non-droit » – sont soumis à des lois étrangères du fait d’une colonisation de peuplement sans précédent.

    Certes, il reste « l’Appel au soldat » ! Mais quelle armée ? Quels soldats ? L’armée de métier est démotivée, infiltrée, privée des plus élémentaires moyens moraux et matériels. Quant aux forces de l’ordre, elles sont culpabilisées voire assimilées à des tueurs (« La Police tue ! ») par des politicards avides d’une nouvelle révolution sanglante. Enfin, le facteur le plus déroutant se situe au plus haut niveau de l’Etat français. Dans l’état d’esprit et les motivations de ses dirigeants. Car d’ores et déjà, nos autorités ont choisi leur camp. C’est celui des déracinés de toutes sortes et de toutes contrées. Et, pour cet Etat, l’ennemi…c’est nous !

    En bref, nous accumulons tous les ingrédients d’une situation prérévolutionnaire qui explosera au plus petit craquement d’allumettes.

    Dès lors, ignorés et méprisés par un Etat violateur du droit naturel et des aspirations populaires, les Bretons et autres autochtones n’ont d’autre recours qu’en eux-mêmes. Au sein de leurs communautés respectives. Non au sein du Léviathan républicain qui les dévore sous un amas de formules autant démagogiques que pernicieuses.

    Il faut donc fuir comme la peste ces héritiers du Jacobinisme qui n’ont que les « valeurs de la République » au bec. De la NUPES au RN en passant par la MACRONIE. Leurs prêches ont toujours été pulvérisés par la réalité des faits. Qu’il s’agisse de l’Etat de droit (qui a été violé), de l’Humanisme (gommé par la Terreur), de la Volonté générale (usurpée), des Libertés (bafouées par des lois liberticides), de la Démocratie (confisquée) ou de la Nation (défigurée et souillée).

    Déjà, plus de 50% d’abstentionnistes ont compris qu’il n’y a plus rien à attendre de cette faune jacobine. Un signe que le « Grand lessivage » est en marche et que l’avenir ne leur appartient plus !

    Jakez GUILLOUZOUIC (10 août 2022).

     

  • 93 % DES VOLS COMMIS DANS LES TRANSPORTS FRANCILIENS SONT LE FAIT D’ÉTRANGERS !

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    écrit par Aymeric Belaud 17 juillet 2022

    Dans une « vérification » du Figaro après les propos du président du Rassemblement National Jordan Bardella affirmant que 95 % de la délinquance de rue est liée à l’immigration, le journal affine les données et les résultats sont intéressants.

    Ainsi, selon les chiffres du service du ministère de l’Intérieur, qui produit des statistiques publiques sur l’insécurité et la délinquance, 93 % des vols sans violence dans les réseaux de transport d’Île-de-France sont commis par des personnes étrangères. En dehors de la région francilienne, 36 % des auteurs de tous les vols et violences sont de nationalité étrangère ; c’est 75 % en Ile-de-France. Sur la France entière, «plus de la moitié des mis en cause seraient de nationalité étrangère» selon le déchiffrage du Figaro.

    Si l’on affine encore les données et que l’on se concentre sur les nationalités, 47 % des mis en cause pour vol ou violence dans les transports en Île-de-France sont originaires de l’Algérie, du Maroc et de la Tunisie.

    Il est fort probable qu’une part importante de ces délinquants étrangers soient des immigrants illégaux, et/ou des reboutés soumis aux OQTF (Obligation de quitter le territoire français). Ces dernières ne sont, à 94 %, pas respectées. Au vu de ces chiffres, le gouvernement et les politiques doivent cesser de faire l’autruche et de laisser ce sujet au RN ou à Éric Zemmour. En plus d’une nouvelle politique d’immigration reposant sur la responsabilité individuelle et la fin de l’Etat-Providence, il faut aller plus loin. Tout d’abord, faire respecter le droit par l’exécution de toutes les OQTF. Ensuite, il serait judicieux d’expulser les délinquants étrangers (en 2020, 21.3 % des détenus étaient étrangers) ne serait-ce que pour les actes graves comme Gérald Darmanin le propose. Il est temps de passer à l’action.

     

    AYMERIC BELAUD

    Chargé d'études Diplômé en Science politique de l'Institut Catholique de Vendée et en Sciences politiques et Affaires publiques à HEIP. Spécialisé dans les questions agricoles, le fonctionnement de l'Etat et les questions politiques. Viticulteur

  • DE L’ÉCOLE JACOBINE A L’ÉCOLE BRETONNE

    Résurrection  Carte dessinée  par O.MORDREL Dazorc'hidigez.jpg

    Drôle d’époque que la nôtre, où le moindre propos non explicitement pro-cosmopolite est décortiqué sur la place publique, présenté comme suspect et condamné aussitôt sans appel ! Où l’on voit, avec consternation, l’imprudent qui l’a émis, battre sa coulpe et mettre genou à terre. Au nom de la bien-pensance universelle, bien sûr ! Bien-pensance martelée par « l’école de la République ».

     

    Cette persécution, cette mise au pilori, il est peu probable qu’elle s’abatte sur les pontifes de l’Alma Mater. Notamment, sur le ministre de l’Éducation nationale, ré-adoubé par Macron : le citoyen Pap Ndiaye. Ses élucubrations anti-occidentales que savoure la presse hexagonale, témoignent des limites du système éducatif : la « méritocratie républicaine » n’a nullement atténué le ressentiment infondé qu’il manifeste à notre égard. Une intégration sociale certes réussie, puisqu’il a accédé à des postes éminents mais non pas l’heureuse assimilation qui exige la prise en compte intégrale des aspects de notre identité, la volonté de la partager et de la faire aimer. Mais nul ne songerait à lui faire grief de ses ineptes provocations. Pas sous la tyrannie des droits-de-l’hommisme. Cela relèverait du blasphème !

     

    Cette sacralité du verbe cosmopolite qui ne supporte aucun égratignement, à qui le devons-nous ? Tout d’abord, au Corps enseignant et ses syndicats marxistes qui veillent jalousement. Ils sont intouchables. Ils dictent sans retenue l’orientation des programmes scolaires sans le moindre froncement de sourcil de l’État. Y compris, quand celui-ci est piloté par des conservateurs libéraux. C’est un bastion « progressiste » apparemment inexpugnable. Une Bastille qu’il faudra, le jour venu, démanteler, pierre par pierre, pour rendre la parole à notre Histoire véritable, notre identité ethnoculturelle bafouée et au Droit naturel.

     

    Au milieu des ruines

     

    Refondre ce ministère de l’Education devient une priorité absolue. Parce que l’Education nationale-jacobine française est, depuis son origine, un redoutable outil à dénationaliser - politiquement, spirituellement - tout jeune autochtone qui passe entre ses mains. Son but, elle n’en fait pas mystère : fabriquer un citoyen qui, par le formatage républicain, sera l’électeur de demain. Un électeur conforme aux intérêts de l’oligarchie en place. Et notre Bretagne, à cet égard, en fournit un triste exemple. Gaulliste sous De Gaulle, socialiste sous Mitterrand, macroniste sous Macron ! Avec pour seul réconfort, celui d’une Bretonnité confinée dans le folklore touristique !

     

    Oui, nous sommes endoctrinés par « l’école de la République » comme l’ont été les petits Soviétiques. Mais, d’une manière plus insidieuse. Le lavage de cerveau s’opère, chez nous, par la méthode maçonnique de la suggestion. Plus efficace que l’affirmation brutale de dogmes assénés pouvant rebuter les esprits rebelles ou simplement critiques. Malgré cette variante, Jacobinisme et Soviétisme son frère et sœur du même cancer totalitaire. Hier, il s’agissait de fabriquer des électeurs républicains. Aujourd’hui, il s’agit, avec l’ami Pap Ndiaye, de passer au cap supérieur : celui de citoyen du monde bien malléable, détaché de tout déterminisme, pour une soumission totale à l’hyperclasse mondiale.

     

    On ne s’étonnera donc pas que le principe ETHNO-DIFFERENTIALISTE soit hors-la-loi dans notre Education nationale. Quant au principe de l’EUROPEANITE, ne rêvons pas ! On nous dénie depuis notre enfance tout sentiment identitaire. Un tel élan ô combien naturel, est réservé aux autres. Et qu’importe si ces critères sont propres à toute société saine et viable. L’Éducation nationale française n’en a cure. Sous l’emprise du Compas et de l’Équerre, elle privilégiera toujours l’idéologie déracinée à l’ordre naturel supérieur du monde. Résultat : nos établissements éducatifs devenus la chasse-gardée du gauchisme, s’ouvrent maintenant aux groupes racialistes antiblancs, factions islamistes et lobbies sociétaux que notre dégénérescence a laissé s’installer.

     

    Pour en sortir, les solutions existent

     

    Dans notre Régime faisandé, croire qu’une énième réforme répondra à l’état de délabrement du système éducatif scolaire et universitaire, relève d’une naïveté sidérante. C’est oublier que cette institution incarne la quintessence du processus révolutionnaire propre à l’Etat républicain. Du reste, as-t-on jamais vu une réforme systémique réalisée par un politicien appointé au système ?

     

    Face à cette chienlit institutionnelle qui pousse à notre abaissement intellectuel, moral et physique, les solutions existent. Elles passent par la mise en œuvre d’une CONTRE-EDUCATION. De la nécessaire désintoxication propre à tout Relèvement.

     

    Mais cette contre-éducation ne peut s’opérer que dans le cadre d’un ÉTAT NATIONAL. Etat national breton, cela s’entend ! C’est-à-dire un État qui orientera les programmes dans un sens national, civique et celtique.

     

    Un Etat qui restaurera un enseignement de qualité conforme à la tradition occidentale, qui rendra les jeunes Bretons fiers de leur histoire, conscients de leurs devoirs, enclins à servir leur communauté, et mieux préparés à affronter les périls actuels et futurs. Nos jeunes s’émerveilleront alors du capital de « gloire et d’orgueil » que des maîtres indignes leur ont dissimulé, au nom d’abstractions philosophiques insanes.

     

    Un Etat qui imposera le SYSTÈME BILINGUE : breton et français. Parce que la langue est le symbole actif de notre identité bretonne. Bilingue car on ne peut rayer d’un trait de plume, cinq siècles d’occupation française. La langue et la pensée bretonnes s’épanouiront naturellement sous l’égide du TRISKELL qui gommera le marquage maçonnique, fossoyeur de notre identité.

     

    Un Etat qui promouvra Ies « croyances spirituelles et spécifiques » de la Bretagne. Loin de l’athéisme militant de l’État français, nos traditions religieuses recouvreront alors leur vigueur première. Car elles appartiennent au patrimoine moral de notre Nation. Et ne peuvent être dissociées du patrimoine intellectuel et artistique.

     

    Cette Education nationale bretonne sera un instrument de transmission des connaissances vraies, d’élévation et de formation du caractère. Un instrument de renouveau qui, à la fois, encouragera la formation professionnelle, et inculquera les hautes valeurs de la civilisation européenne. Une révolution des âmes, par l’éveil de la conscience ethno-différentialiste chez nos têtes blondes et rousses, en leur apprenant à penser « Nous » et non seulement « Je ». L’individualisme rationaliste bourgeois aura vécu. S’y substituera l’esprit de communauté !

     

    L’indispensable refondation

     

    Deux postulats s’imposent fort logiquement dans le cadre d’une telle Refondation. D’une part, la dé-maçonnisation des structures étatiques ci-dessus évoquée. D’autre part, la dé-marxisation (sa variante), toute aussi vitale, pour mettre en œuvre ces programmes nouveaux. Il serait, en effet, de la dernière folie de permettre leur sabotage par des éléments subversifs qui agiraient à l’ombre de leurs syndicats qui devront être dissous.

     

    Chacun aura compris que le système éducatif, dans l’Etat national breton de demain, ne sera en rien le copier-coller du système français qui nous dénature et nous affaibli. Et bien peu regretteront, soyons-en sûr, ce système éducatif français, cette fabrique de zombies, d’éléments subversifs et d’insatisfaits chroniques.

     

    Finalement, dans le domaine de l’enseignement, comme en d’autres domaines, un seul impératif demeure. Toujours le même : le retour du roi ARTHUR. C’est-à-dire le retour de L’État BRETON pour sortir du chaos franco-républicain.

     

    HEP STAD BREZHON DIEUB, DAZONT EBET !

     

    Jakez GWILLOU ( 23 Juillet 2022)