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  • QUAND LA MAIRE DE NANTES CALOMNIE LA CROIX CELTIQUE

    Mais quelle mouche a donc piqué Johanna Rolland pour qualifier la Croix celtique de « symbole néonazi » dans son tweet sur X, le 3 avril dernier ? Axiome relayé avec délectation par le journal d’Etat Ouest-France. Pionnier, comme l’on sait, dans le lavage de cerveau des Bretons pour les figer en hexagonaux bien dociles. Aussi, est-il nécessaire de remettre les pendules à l’heure et de rappeler quelques solides vérités sur ce symbole et sur la politique nantaise de ceux qui le voue aux gémonies. 

    Non, Johanna Rolland, le symbole de la Croix celtique ne relève en rien d’une mystique nationale-socialiste. A l’origine, elle est une représentation schématique de l’astre solaire chez les peuples celtes. Apparu tout d’abord en Irlande, cet authentique symbole européen prit son essor dans toute la partie nord-occidentale de l’Europe. On le retrouve fréquemment dans nos cimetières, dans nos églises, nos cathédrales et dans nos campagnes bretonnes. Il fut même adopté comme emblème de l’Année Sainte en 1975 par les autorités catholiques.

    Madame Johanna Rolland, quand on crache sur la Croix celtique, on crache ipso facto sur la Bretagne. Sur son identité, sur son ethnie, sur son histoire, sur sa culture et sur sa religion. Aux prochaines municipales, nous vous recommandons fortement comme colistière, l’essayiste et traductrice Françoise Morvan. Propagandiste bien connue pour fustiger inlassablement le moindre aspect de l’identité bretonne que vous semblez avoir en horreur.   

    Il est vrai que pour vos amis et vous-même, les « discours de haine » ne sauraient concerner que les propos identitaires, les valeurs morales traditionnelles et le rappel des falsifications de notre histoire. En bref, tout ce qui peut freiner les déviances sociétales des temps présents et le Grand remplacement de notre peuple. 

    Quand vous osez invoquer « les valeurs de notre ville, celles de tolérance, de respect et de vivre-ensemble », vous restez dans le déni qu’aucune médication ne peut soigner. Hélas, pour vos administrés qui subissent votre folle politique dans leur vie quotidienne. Vous avez transformé l’ancienne capitale du duché de Bretagne, où il faisait jadis bon vivre, en un immense squat à ciel ouvert. Un cloaque new-yorkais qui, si aucune mesure salvatrice ne survient, s’apparentera bientôt à un Beyrouth-sur-Loire.      

    Les natifs de Nantes qui ont eu le privilège d’y vivre jusque dans les années quatre-vingt, ne reconnaissent plus leur Cité. Epoque bénie où régnaient l’ordre et la propreté y compris dans les quartiers populaires et les cités ouvrières. Une grande ville paisible où la peur et la criminalité ne ruisselaient pas à chaque coin de rue. Une belle métropole, où l’on se sentait réellement chez soi :  en Bretagne et en Europe dans un environnement hautement civilisé.   

    Certes, la Croix celtique n’est plus un emblème strictement religieux depuis les années cinquante. Elle est devenue aussi le signe de ralliement de tous les combats nationalistes contre la subversion marxiste, cosmopolite et libérale. Incarnation vivante d’une volonté d’affirmation de nos peuples. Non seulement dans l’Hexagone mais aussi dans nombre de pays européens. Aussi est-elle devenue le symbole le plus exécré de toutes les « Gauches », car sujet à aucun compromis et porteur d’un projet sociétal totalement antagonique.  Tout à l’opposé d’une « Droite » veule prête à tous les reniements et tétanisée par le rappel d’un passé qu’elle refuse d’assumer.  Enfin et surtout, la Croix celtique n’a jamais baigné dans le sang de ses victimes, contrairement à la faucille et le marteau et le bonnet phrygien chers aux apôtres du Progrès.

    En effaçant promptement le symbole de la Croix celtique, tout en laissant en place le drapeau palestinien qui recouvre les marches de la butte Sainte Anne, la municipalité de Nantes a choisi le camp de la soumission. Celui que le Grand écrivain Jean Raspail fustigeait avec raison dans son ouvrage prophétique « Le camp des Saints » paru en 1973.

    Mais qu’importe ! La CROIX CELTIQUE, tout comme le KROAZ DU, le TRISKELL et le GWENN-HA-DU, appartient au legs que nos ancêtres nous ont transmis pour préserver notre identité de toutes les menaces mortifères. Qu’elles viennent de l’extérieur comme de l’intérieur.   

    La Croix celtique ? Aucun Breton n’y renoncera au risque de se renier !

    Jakez GUILLOUZOUIC (11 avril 2024).

  • GWENNYN

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  • Ce sont les bonnes institutions qui font les bons comportements

    A l’heure du bilan sur les exactions urbaines et de la recherche de leur cause, le Gouvernement Provisoire de Bretagne s’étonne que ne soit jamais pointée  la responsabilité première de notre système politique centraliste. En effet, ce sont les bonnes institutions qui font les bons comportements.

    Pour preuve, chez nos voisins européens qui tous ont fait évoluer leurs institutions  dans un sens fédéraliste, aucune de ces grandes manifestations qui se multiplient depuis un certain temps sur tout le territoire français, avec leur habituel cortège  de violences, ne serait possible. 

    Et pour cause, les conflits y sont chez eux largement résolus au niveau régional qui dispose de sa propre police, de son propre gouvernement et de son propre ministre de l’intérieur, contrairement à chez nous où la sécurité des citoyens sur l’ensemble du territoire est totalement dans les mains de l’État.

    Et ce fédéralisme n’est que justice puisque chaque région ne paye alors que pour les dégâts causés par ses propres habitants.

    Mais en quoi les  Bretons seraient-ils concernés  par les problèmes de violences dans les banlieues parisiennes alors qu’ils n’en sont aucunement responsables ?

    Et au nom de quoi les habitants  d’une région au comportement plutôt pacifique et vertueux, comme l’est la Bretagne,  devraient-ils payer, via leurs impôts, pour les pots cassés dans d’autres régions ?

    Claude Guillemain

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